Un gouvernail pour le Nomad !

En attendant la fonte des glaces et le retour des beaux jours on fignole quelques réglages et aménagements pour le Nomad.

A commencer par la confection d’un palonnier pour le gouvernail fourni par mon armateur !

Le gouvernail…

Le gouvernail… cela m’a fait un peu drôle de percer le gonflable pour fixer le fémelot…

Et voici le palonnier … encore quelques finitions… peut être une réduction pour alléger un peu… à voir…

Le palonnier

 

Le Nomad équipé de son gouvernail

Et pendant que j’y étais une petite modif soufflée par Andy pour la rallonge de gonflage des deux bladders : adoption de deux petits coudes pour faciliter l’accès aux valves.

Rallonge de gonflage

 

 

La Deuch’30

Ce n’est pas nouveau,.. j’ai une une tendresse toute particulière pour les p’tits bateau…

Celui ci dans le genre est une pure merveille ! A voir sur le site de Jean Claude Michaud architecte naval.

Ladeuch’30. Un mini voilier minimaliste de 3.00m ! Pour se faire plaisir ou battre des records, ici en version aluminium, il est d’une  solidité à toute épreuves. Pour qui  ne maîtrise pas les techniques de l’aluminium une version contreplaqué est possible. Ladeuch’ c’est l’esprit de la voiture éponyme. C’est a ultra simplicité mais efficacité et adéquation à la fonction. Devant l’intérêt de ce concept il y  aura des Ladeuch’ 90 et 108 c’est-à-dire en 9.00 et 10.80m aussi simplissime et toujours grées en jonque le dossier de construction est disponible immédiatement et sur demande la version contreplaqué est rapidement disponible.

Au Salagou avec Marcel !

Pour ce rendez vous avec Marcel sur le lac du Salagou j’ai ressorti mon fidèle Klepper…
Installés pour quelques jours au camping du mas de Riri idéalement situé au bord de l’eau, l’objectif est simple : petites nav sympa à la voile.

Le plan d’eau est magnifique : les terres rouges entourent un lac de barrage très poissonneux, le Salagou est un véritable paradis pour les pêcheurs !

Côté vent, l’aérologie du salagouest des plus tordues… Le copain de Marcel qui avait emprunté son bateau pendant que nous finissions de casser la croute au restau en fera les frais le dernier jour…. Retourné, le canoë flanqué de ses deux planches à voile, se révèle quasiment impossible à retourner … Avec l’aide d’un pêcheur qui remorque le bateau naufragé jusqu’au rivage, nous y travaillerons un moment à trois pour le remettre à l’endroit, obligés de casser le mât … Bref au final du boulot en perspective pour Marcel pour réparer le bateau…

A part ce naufrage du dernier jour, de bien belles navigations dans un cadre idyllique !