Mon travail de peinture avait bien commencé mais, hélas un coup de froid est venu perturber le processus. J’ai donc du attendre que la température remonte pour achever ce relooking de Venexiana cinquième du nom.
Concernant la couleur. Désireux de marquer une différence entre oeuvres vives et oeuvres mortes et pas très motivé à l’idée de devoir retourner la coque j’ai opté pour une carène conservant le vert d’origine et du blanc pour le reste tout en laissant le carreau de bois vernis.
Ne pouvant plus trouver la peinture International bi composant et sans me lancer dans des recherches compliquées j’ai choisi une peinture résistante pour l’extérieur. Je pourrai facilement réparer les inévitables éraflures et si au bout du bout il s’agit de refaire une peinture, je crois que je m’adresserai à un professionnel.

La grosse difficulté était de tracer une ligne de flottaison à peu près réaliste…

Et ensuite va y Jeannot c’est parti pour plusieurs couches…

Tout s’est à peu près bien passé pour le blanc, j’arrivais à bien incliner le bateau sur la remorque.
Le problème est survenu avec le carreau. Malgré le masquage, de la peinture avait bavée et il restait toujours des traces de vert à la limite du clin. Bref de ponçage en vernis j’en suis venu à tout poncer le bois puis à le teindre en palissandre, c’est à dire une couleur plus foncée qui au final ne ressort pas si mal… J’ai dû m’y reprendre à plusieurs fois poncer, vernir, décaper, reponcer, revernir…
Comme je l’indiquait au début la chute de la température est venue compliquer les choses.
Donc après la pose du lettrage que j’ai choisi en vert pour rappeler la carène, voici le résultat final :



Pendant la période de froid, j’en ai profité pour peaufiner mes manoeuvres de dépose du bateau de la remorque de route au chariot de mise à l’eau (et vice versa) afin de faciliter au maximum la manutention. Je pense être arrivé à un résultat satisfaisant en rajoutant quelques aménagements et accessoires.
Ce sera l’objet d’un prochain billet sur ce blog.












