Itinéraire salé d’un marin d’eau douce ou comment j’en suis venu au voile aviron. (10)

Des plans sur la comète… et on s’approche du premier bateau habitable

Toute mon adolescence j’ai dessiné des plans de bateaux. Tout support était bon y compris mes cahiers de cours aux marges crayonnées d’esquisses qui illustraient mes rêves de voyage au long cours…

La rubrique des essais de la revue Bateaux fournissait sur sa page noir et blanc des plans qui pouvaient donner des idées…

.

Et je dessinais des plans, des plans… et encore des plans !

Plus tard, en fac, j’écrivais aux chantiers et aux architectes navals qui m’envoyaient sans rechigner leur documentation. L’idée de construire à mon tour une unité transocéanique occupait de plus en plus mes esprits, parfois au détriment de mes études… mais ça, c’est une autre histoire !

La revue Loisirs Nautiques était plus que jamais une source d’inspiration précieuse. Toutes les techniques de construction pour des amateurs y étaient abordées. Les hors séries qui détaillaient tel ou tel aspect du chantier de construction étaient attendus avec impatience !

Construire en kit était à la mode…
Les plans pour amateurs de bateaux en acier, véritables coffres forts étaient nombreux.
Le Grisbi 36 était construit en fibrociment, une technique appréciée par certains constructeurs amateurs.

Bon, disons le tout de suite, je n’ai jamais, du moins pour l’instant, construit de bateau !

La vie active ayant commencé à m’apporter une certaine autonomie financière j’allais bientôt pouvoir acquérir mon premier bateau habitable.

Et en attendant, le Fireball continuait de naviguer !

3 réflexions sur « Itinéraire salé d’un marin d’eau douce ou comment j’en suis venu au voile aviron. (10) »

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.